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Quel candidat est votre favori pour le second tour de l'élection présidentielle ?
SĂ©golène Royal 38%  38%  [ 16 ]
Nicolas Sarkozy 48%  48%  [ 20 ]
Je n'irai pas voter, je m'abstiendrai 12%  12%  [ 5 ]
J'irai voter, mais je voterai blanc 2%  2%  [ 1 ]
Nombre total de votes : 42
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  Finale SĂ©golène Royal / Nicolas Sarkozy, Vote et commentaire
Message PubliĂ© : 25 Avr 2007 00:30 
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Finale Ségolène Royal / Nicolas Sarkozy.

Merci d'indiquer votre vote et vos commentaires. :wink:

Sondage FDU du 24 Avril au 6 Mai 2007.


Marc


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  Sofres : duel serrĂ© entre Royal et Sarkozy
Message PubliĂ© : 25 Avr 2007 03:01 
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Le Figaro a Ă©crit :
Sofres : duel serré entre Royal et Sarkozy
Le Figaro, le 24 avril 2007

D’après le sondage de la Sofres du 24 Avril 2007, près de la moitié des électeurs de François Bayrou votera pour Ségolène Royal.

La bataille pour les électeurs centristes ne fait que commencer, et la perspective d’un second tour serré risque de l’intensifier. Selon la dernière étude Sofres Unilog pour Le Figaro, RTL et LCI, Nicolas Sarkozy battrait Ségolène Royal, mais avec moins d’avance que prévu. Le candidat UMP remporterait 51% des voix, contre 49% à son adversaire socialiste. 20% des sondés n’ont cependant pas encore exprimé d’intention de vote.

Ségolène Royal remporte l’adhésion de 46% des sondés qui ont voté Bayrou au premier tour, tandis que seuls 25% d’entre eux voteraient pour Nicolas Sarkozy au second tour. 29% des électeurs centristes n’ont pas exprimé d’intention de vote. Nicolas Sarkozy peut en revanche compter sur un franc soutien de l’électorat frontiste. Les Français qui ont voté pour Jean-Marie Le Pen se reporteront à 62% sur le candidat UMP. 16% voteront Royal.

La candidate socialiste semble aussi pouvoir compter sur un effet « tout sauf Sarkozy » : 54% des sondés qui vont voter pour elle justifient leur choix par le refus de voir son adversaire accéder à l’Elysée. A l’inverse, 57% des électeurs sarkozystes le choisissent par « adhésion ». Nicolas Sarkozy garde également un avantage psychologique : 72% des sondés pronostiquent sa victoire finale.

Source : http://www.lefigaro.fr


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  Royal vise au centre
Message PubliĂ© : 25 Avr 2007 03:13 
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RFI a Ă©crit :
Royal vise au centre

Ségolène Royal a choisi d’avancer sans attendre en terrain centriste. La candidate socialiste a évoqué une alliance avec le camp de son adversaire de l’UDF, dès son premier meeting, organisé en hâte à Valence pour ne pas laisser Nicolas Sarkozy occuper seul le terrain médiatique au lendemain du premier tour. La balle est désormais dans le camp de François Bayrou.

Pas question de tergiverser. La campagne pour le deuxième tour ne durant que deux semaines, il faut aller vite et rallier large. Ségolène Royal a donc pris une initiative importante dès le lendemain des résultats du premier tour. Elle a «tendu la main» à François Bayrou. Comme à son habitude, la candidate socialiste a tranché sur la stratégie à adopter dans la dernière ligne droite de l’élection présidentielle. Sa décision donne satisfaction dans le camp socialiste à ceux qui, comme Michel Rocard ou Bernard Kouchner, avaient déjà appelé à une alliance avec le centre. Elle n’est pas pour autant du goût de tout le monde au PS. Mais comme l’a rappelé François Rebsamen, le directeur de campagne de Ségolène Royal : «C’est elle la candidate».

Avant d’entrer en scène, dans la salle du Parc des expositions de Valence où elle tenait meeting, Ségolène Royal a fait un petit détour par la salle de presse pour lire aux journalistes présents sa déclaration à François Bayrou : «La France a tout à gagner à l’ouverture des idées pour sortir des blocages d’un système dépassé. Je propose un dialogue public sur la base du pacte présidentiel». Elle a aussi expliqué qu’elle avait prévenu François Bayrou de sa démarche «par simple politesse» et qu’elle attendait maintenant «une réponse». Elle a, par ailleurs, déterminé d’emblée les points sur lesquels des convergences sont possibles : rénovation de la vie publique, Etat impartial et libertés publiques, refus des tensions dans les villes et les quartiers, relance de l’Europe, priorités éducatives et écologistes. En abordant la question franchement et publiquement, la candidate socialiste estime se prémunir contre les attaques sur le thème des incontournables marchandages électoraux. En affirmant qu’il ne s’agit ni d’un «ultimatum», ni d’une «pression», mais d’une «main tendue», elle veut couper court aux accusations de chantage.

Pas assez de voix Ă  gauche

Malgré ces précautions oratoires, il est incontestable que Ségolène Royal tente de jouer son va-tout avant la conférence de presse où François Bayrou doit faire part de ses intentions, annoncée pour le mercredi 25 avril. Elle le met en quelque sorte au pied du mur. Cela lui permettra d’apparaître comme l’initiatrice du rapprochement si François Bayrou accepte. Et de ne pas être responsable de l’échec s’il refuse. Ce qui lui ménage aussi la possibilité de s’adresser ensuite directement aux électeurs centristes, forte de cette marque de bonne volonté. Car finalement, tout le monde le rappelle ces jours derniers, les électeurs n’appartiennent à personne.

Une ouverture au centre était un peu inévitable pour Ségolène Royal. Il apparaît, en effet, au vu des résultats du premier tour, qu’elle a l’arithmétique contre elle. Nicolas Sarkozy a obtenu 31,18% des voix, soit 5,3 points de plus qu’elle. Et il dispose de réserves de voix à droite plus importantes qu’elle à gauche. Le cumul des votes en faveur des «petits» partis de gauche (LO, LCR, PC, mouvement antilibéral, Verts) dépasse à peine les 10%, soit l’équivalent du score de Jean-Marie Le Pen. Dans ce contexte, son seul espoir de l’emporter est de réussir à convaincre une majorité des 18,57% d’électeurs qui ont choisi François Bayrou au premier tour.

Gagner au centre, ne pas perdre Ă  gauche

Ségolène Royal le sait. C’est pour cette raison qu’elle tente le pari du centre malgré le risque, toujours présent, de contrarier les électeurs de la gauche traditionnelle ou radicale qui pourraient considérer cette stratégie comme un pacte avec le diable. Pour leur donner des gages, elle a donc continué à taper sur «le candidat sortant», lors du meeting de Valence. Elle a profité du soutien de Silvio Berlusconi, l’ancien Premier ministre italien, à Nicolas Sarkozy, pour clamer sa désapprobation : «Je ne veux pas de cette Europe à la Berlusconi». Elle a aussi rappelé l’enjeu du scrutin et par allusion sa différence avec son adversaire de droite : «Vous allez choisir le visage et les valeurs de la France». Mais Ségolène Royal sait bien que le «tout sauf Sarko» est une stratégie un peu courte pour gagner. Même si la volonté de barrer le route de l’Elysée au candidat de l’UMP est peut-être le plus petit dénominateur commun de la gauche et du centre.

Source : http://www.rfi.fr


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  Sarkozy veut favoriser la crĂ©ation d'un parti nĂ©o-centriste
Message PubliĂ© : 25 Avr 2007 09:51 
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Le Monde a Ă©crit :
Sarkozy veut favoriser la création d'un "nouveau parti centriste"

Nicolas Sarkozy veut favoriser la création "d'un nouveau parti centriste" formé à côté de l'UMP, à partir des UDF ayant rejoint l'UMP, ont indiqué mardi à l'AFP des élus, notamment ex-UDF, intégrés à son équipe de campagne.

Ces élus s'exprimaient, tous sous couvert d'anonymat, alors que François Bayrou - 18,57% au premier tour de la présidentielle - doit annoncer mercredi ses intentions pour le second tour. Il ne devrait pas donner de consigne de vote et pourrait annoncer la création d'un nouveau parti "démocrate".

Selon un des élus sarkozystes, deux stratégies sont possibles: "soit on a suffisamment d'UDF qui nous rejoignent à l'UMP et on reprend l'UDF de l'intérieur". Dans le cas contraire, "on additionne les UDF qui viennent de nous rejoindre avec ceux qui nous ont rejoints depuis 2002 et avec eux, on forme un nouveau parti".

Selon cet élu, la première stratégie paraît difficile parce que les statuts de l'UDF sont "ultra-verrouillés".

"Ce n'est évidemment pas Sarkozy lui-même qui créerait le parti mais si suffisamment se ralliaient à lui, il constaterait la création d'un nouveau parti", a déclaré un député UMP, ancien de l'UDF qui avait rejoint le parti à sa création en 2002.

Un autre député, lui aussi venu de l'UDF en 2002, a estimé que s'il se trouvait suffisamment d'UDF pour se rallier à sa candidature, Sarkozy allait "laisser se créer un nouveau parti centriste". Ce parti serait intégré dans la majorité nouvelle, si M. Sarkozy devient président.

"L'idée est de créer un parti de centre-droit, indépendant de l'UMP", a expliqué à l'AFP le sénateur UDF Yves Pozzo di Borgo, indiquant que cette idée était soutenue par lui-même et par Gilles de Robien.

"Ce parti aurait un contrat de gouvernement pendant cinq ans avec le président de la République, pas avec l'UMP", a précisé M. Pozzo di Borgo, qui a annoncé dimanche soir son soutien à M. Sarkozy pour le second tour.

Il serait, selon lui, créé "après la présidentielle, mais avant les législatives". Ce serait un "pôle de rassemblement" dans lequel pourraient revenir d'ex-UDF ralliés à l'UMP en 2002.

Nicolas Sarkozy avait annoncé lundi son intention de créer une majorité "multipolaire".

"Nicolas Sarkozy rappelle qu'il n'a jamais été pour le parti unique. Il veut jouer le jeu du pluralisme organisé. Ca ne choque pas Sarkozy qu'on puisse organiser un centre qui ne soit pas UMPiste", avait récemment indiqué de son côté un ministre.

De nombreux responsables UDF ont rejoint en 2002 l'UMP, mais François Bayrou avait refusé de se fondre dans un grand parti unique de la droite, se distançant de plus en plus de la majorité, jusqu'à voter la censure.

Plusieurs parlementaires UDF se sont ralliés, avant ou depuis le premier tour présidentiel, à la candidature de Nicolas Sarkozy.

Le seul ministre UDF, Gilles de Robien, avait lui aussi rallié la candidature de M. Sarkozy avant le premier tour.

Source : http://www.lemonde.fr


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  Royal promet des ministères aux centristes en cas de soutien
Message PubliĂ© : 25 Avr 2007 09:55 
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Romandie News a Ă©crit :
Royal promet des ministères aux centristes s'ils la soutiennent

MONTPELLIER (France) - La candidate socialiste à la présidentielle française, Ségolène Royal, a déclaré mardi que le parti UDF du centriste François Bayrou aurait des ministres au gouvernement si celui-ci lui accordait son soutien, crucial, pour le second tour du 6 mai.

Interrogée par des journalistes pour savoir si elle tiendrait compte, pour la constitution du gouvernement et les élections législatives de juin, d'un éventuel accord de M. Bayrou pour la soutenir, Mme Royal a répondu: "si nous nous rejoignons, j'en tirerai toutes les conséquences pour la majorité présidentielle".

"Y compris en prenant des ministres UDF?", lui a demandé un journaliste. "Bien sûr, c'est ça, une majorité présidentielle", a répondu Ségolène Royal, qui s'exprimait à l'issue d'un meeting.

A la veille d'une conférence de presse de M. Bayrou pour donner sa position sur le second tour, la candidate socialiste a indiqué avoir "proposé une séance de travail" avec l'UDF (Union pour la démocratie française), "avec quatre ou cinq personnes de chaque côté", suivie "d'un compte-rendu à la presse" de façon à assurer "la transparence".

L'ouverture proposée "n'est pas du tout ou rien", a-t-elle ajouté, précisant qu'il était concevable "d'ajouter des choses" aux propositions de son "pacte présidentiel".

A propos du rôle que pourrait jouer l'ancien président de la Commission européenne, le socialiste Jacques Delors, apprécié de l'électorat modéré et qu'elle a reçu mardi matin, Ségolène Royal a indiqué qu'il était "prêt à participer à une séance de travail". "Je pense qu'il est tout à fait disponible" pour faciliter le rassemblement, a-t-elle dit.

Elle a estimé qu'il "reste possible" de trouver un accord sur le pacte présidentiel avec François Bayrou, estimant qu'il existait "des compatibilités d'idées" et que le centriste avait "refusé le projet de l'UMP", le parti du candidat de droite Nicolas Sarkozy.

Mme Royal s'est défendu de tout "calcul arithmétique pour gagner les élections". "Ce n'est pas une initiative tactique", a-t-elle dit.

Au même moment, le candidat de droite Nicolas Sarkozy, en meeting près de Rouen (ouest), tendait la main à ses "amis" centristes, déclarant qu'ils étaient "les bienvenus" et fustigeant la gauche, qui, selon lui, "négocie des alliances, des ralliements".

Le candidat centriste François Bayrou s'est placé en troisième position au premier tour dimanche de la présidentielle avec 18,57% des voix, derrière M. Sarkozy (31,18%) et Mme Royal (25,87%), et les deux finalistes rivalisent d'appels du pied à ses électeurs.

M. Bayrou devrait cependant laisser mercredi la liberté de vote à son électorat pour le second tour, a affirmé mardi soir un député de son parti UDF, Maurice Leroy, à l'issue d'une réunion au siège du parti à Paris.

Source : http://www.romandie.com


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  Sarkozy contre la proportionnelle aux lĂ©gislatives
Message PubliĂ© : 25 Avr 2007 21:41 
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Yahoo a Ă©crit :
Nicolas Sarkozy contre la proportionnelle aux législatives

PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy confirme son opposition à l'introduction d'une dose de scrutin proportionnel dans les élections législatives, dans une interview publiée par le quotidien Le Monde.

"Je dis non à la proportionnelle aux législatives mais oui en ce qui concerne le Sénat", déclare le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle.

L'un de ses proches, le ministre délégué aux Collectivités territoriales Brice Hortefeux, avait déclenché une polémique avant le premier tour en se prononçant, dans une interview au Figaro, pour une dose de proportionnelle aux législatives.

Cette déclaration avait alimenté des accusations de connivence entre Nicolas Sarkozy et le président du Front national, Jean-Marie Le Pen.

"Si un jour il devait y avoir une ouverture à l'Assemblée nationale, cela ne pourrait se faire que par la suppression d'un certain nombre de sièges de députés élus dans les circonscriptions", déclare Nicolas Sarkozy dans cet entretien accordé au Monde.

Le président de l'UMP confirme d'autre part l'abandon de sa proposition d'octroi du droit de vote aux étrangers lors des élections locales.

"Proposer aujourd'hui le vote des étrangers serait faire reculer le débat", dit l'ancien ministre de l'Intérieur, qui confirme en revanche son intention de créer un "statut de l'opposition" et de recevoir régulièrement, s'il est élu, les élus de l'opposition.

"En outre, je ne serai pas choqué que la présidence de la commission des finances (à l'Assemblée nationale) soit confiée à un élu de l'opposition", dit-il.

Source : http://www.yahoo.fr


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  Bayrou ne donne pas de consigne de vote, mais Ă©coute Royal
Message PubliĂ© : 26 Avr 2007 03:11 
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Europe 1 a Ă©crit :
Bayrou ne donne pas de consigne de vote, mais Ă©coute Royal

mercredi 25 avril 2007
19h07, heure de Paris

François Bayrou s'est exprimé mercredi après-midi pour la première fois depuis dimanche soir. Le candidat de l'UDF a fait savoir qu'il ne donnerait pas de consignes de vote à ses électeurs. Il a par ailleurs annoncé la naissance d'un nouveau parti, le Parti démocrate, qui proposera de "refonder nos institutions". Peu après, Ségolène Royal a proposé à François Bayrou un "débat d'éclaircissement" qui aurait lieu vendredi avec la presse quotidienne régionale. Le chef centriste a estimé que ce débat devait être télévisé.

François Bayrou, qui a recueilli 18,6% des voix au premier tour de l'élection présidentielle, a refusé mercredi de donner une consigne de vote pour le second tour de scrutin, le 6 mai. "Je ne donnerai pas de consigne de vote", a déclaré le député béarnais lors d'une conférence de presse à Paris. "J'estime que les Français qui ont voté pour moi sont en conscience des citoyens libres de leur choix", a-t-il ajouté. François Bayrou a été sollicité par l'UMP Nicolas Sarkozy et la socialiste Ségolène Royal pour passer un accord afin de permettre à l'un des finalistes de récupérer les voix centristes.

François Bayrou a par ailleurs annoncé la disparition de l'UDF et son remplacement par un nouveau parti centriste baptisé Parti démocrate. "D'ores et déjà, pour changer définitivement la politique française, j'annonce la création d'un nouveau parti politique, le Parti démocrate", a déclaré le candidat de l'UDF à l'élection présidentielle. Ce nouveau parti, a-t-il dit, "présentera des candidats à toutes les élections à venir, et d'abord aux élections législatives, pour représenter les Français qui veulent une politique nouvelle, indépendante, libre dans son expression et décidée défendre les citoyens sans se laisser intimider par les menaces ou les tentations diverses liées au pouvoir". "Le Parti démocrate proposera de refonder nos institutions pour que le mot démocratie trouve son sens en France", a-t-il ajouté. L'UDF, que François Bayrou présidait jusque-là, avait été créée en 1978 à l'initiative de l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing.

François Bayrou n'a par ailleurs pas exclu l'idée d'un débat avec Ségolène Royal. "Je suis un homme d'ouverture, ouvert à toute discussion de bonne foi", a expliqué le leader centriste. "Ségolène Royal a proposé d'avoir avec moi un débat public et ouvert. J'accepte d'avoir ce dialogue, sans arrière-pensées, par exemple à la télévision", ajoutant qu'il était prêt à en faire autant avec Nicolas Sarkozy si ce dernier le proposait. La candidate socialiste, dans la foulée, a proposé à François Bayrou un "débat d'éclaircissement" qui aurait lieu vendredi dans le cadre d'un forum de la presse quotidienne régionale.

Source : http://www.europe1.fr


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  Vers un dĂ©bat tĂ©lĂ©visĂ© SĂ©golène Royal - François Bayrou
Message PubliĂ© : 26 Avr 2007 03:29 
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MSN a Ă©crit :
Vers un débat télévisé Ségolène Royal - François Bayrou

Le leader centriste a accepté de débattre avec Ségolène Royal. Restait à savoir où, quand et comment.

Lors de sa conférence de presse, cet après-midi, François Bayrou avait répondu positivement à l'invitation de Ségolène Royal qui lui proposait un « débat ouvert ».

Aussitôt après, la candidate socialiste a proposé que le débat ait lieu vendredi prochain, au Forum de la presse quotidienne régionale. Plusieurs points restent malgré tout en suspend. Contacté par Marianne2007.info, le syndicat de la presse quotidienne régionale a indiqué qu'il n'était pas informé de ce changement de programme.

Au départ, n'était en effet prévu vendredi que l'intervention de Ségolène Royal. Les organisateurs, qui devaient donner leur accord à cette modification de dernière minute, semblaient un peu pris de court.

François Bayrou a fait savoir, en début de soirée, qu'il souhaitait plutôt que ce débat soit télévisé sur une chaîne nationale. Peut-être allait-il falloir, en définitive, que les deux intervenants se parlent au téléphone. Au moins pour se mettre d'accord sur les modalités de leur rencontr

Et surprise, lors du Journal de 20 heures mercredi soir sur France 2, François Bayrou vient de proposer un débat télévisé en direct avec Ségolène Royal sur France 2.


Source : http://www.msn.fr


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  Sarkozy refuse un dĂ©bat avec Bayrou mais se dĂ©clare ouvert
Message PubliĂ© : 26 Avr 2007 06:18 
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AFP a Ă©crit :
Sarkozy refuse un débat avec Bayrou mais se déclare ouvert "au dialogue"
(AFP)

Nicolas Sarkozy, candidat UMP à l'élection présidentielle, a rejeté mercredi soir la proposition de débat lancée par François Bayrou, son challenger UDF au premier tour, faisant valoir que le "débat contradictoire" de second tour devait avoir lieu entre les finalistes.

Tout en se déclarant ouvert "au dialogue", le candidat UMP a affirmé que les Français avaient voulu, par leur vote du 22 avril, la confrontation entre lui et la candidate socialiste, Ségolène Royal.

Le président de l'UDF, dont les voix sont convoitées par les deux qualifiés du second tour, avait annoncé plus tôt, lors d'une conférence de presse, qu'il acceptait de débattre avec la candidate socialiste et qu'il était prêt à en faire autant avec M. Sarkozy.

M. Sarkozy a également reproché à M. Bayrou de ne pas donner de consigne de vote pour le second tour. "Moi, je ne pense pas qu'on rénove la vie politique en s'abstenant de faire un choix", a-t-il affirmé.

M. Bayrou "pense que Mme Royal ne sera pas une bonne présidente de la République, il pense que je ne serai pas un bon président de la République. Au fond, il pense qu'il n'y avait que lui qui pouvait être un bon président de la République", a-t-il ironisé.

M. Sarkozy a toutefois assuré qu'il était disposé, s'il était élu le 6 mai, à prendre des ministres UDF "et même au-delà", en se déclarant résolu à "prendre les meilleurs où ils se trouvent", pour "faire la meilleure équipe de France".

Sur le plan international, le candidat UMP a également évoqué l'Iran, "le problème international le plus important" en raison des appels du président iranien Mahmoud Ahmadinejad à la destruction d'Israël.

"Si je suis président de la République, je me battrai sur deux fronts, d'abord des sanctions sur ce régime iranien, et deuxièmement pour l'unité de la communauté internationale", a-t-il dit, car "nous avons besoin des Russes et des Chinois pour appliquer ces sanctions".

M. Sarkozy a également assuré que "les dirigeants soudanais" auraient à "rendre compte un jour devant le tribunal pénal international" de leur refus de corridors humanitaires au Darfour.

"La question du Darfour, c'est un véritable scandale, ce qui se passe est inacceptable", a-t-il affirmé au sujet d'un conflit qui dure depuis quatre ans dans l'ouest du Soudan et a fait 200.000 morts et 2 millions de déplacés, selon des organisations internationales, chiffres contestés par le Soudan.

S'il est élu le 6 mai, M. Sarkozy a par ailleurs déclaré qu'il lui faudrait "sans doute un temps de retrait" d'une dizaine de jours, pour se retrouver "seul, face" à lui-même.

Source : http://www.afp.fr


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  PolĂ©mique sur le taux de chĂ´mage en France
Message PubliĂ© : 26 Avr 2007 20:23 
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Jobetic a Ă©crit :
Polémique sur le taux de chômage en France.

Royal est pour changer d'indicateur de mesure. Sarkozy est contre.

Tribune libre Ă  Patrick Salmon, ancien directeur d'agence ANPE, auteur de l'ouvrage 'ChĂ´mage, le fiasco des politiques'.
Les chiffres officiels du chômage devraient être publiés d'ici la fin de la semaine. Le baromètre officiel du chômage est de plus en plus contesté, nous en avons déjà largement fait écho et de nouvelles manifestations s'organisent. Quelles sont les positions de Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy sur la fiabilité des mesures statistiques du chômage ?

Les chiffres officiels du chômage devraient être publiés d'ici la fin de la semaine. Jeudi dernier, des statisticiens du ministère de l'Emploi se rassemblaient devant la tour Mirabeau qui abrite à Paris la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares).

Sortant de leur habituel devoir de réserve, ces spécialistes demandent la non publication des chiffres entre les deux tours de l'élection présidentielle et la tenue «d'états généraux des chiffres du chômage»... Qui aurait pu imaginer, il y a seulement quelques semaines, pareille manifestation? Comment cette question a-t-elle pu être finalement présente dans le débat au cours de l'actuelle campagne présidentielle? Quelles sont les positions des candidats à la magistrature suprême sur ce sujet?

Depuis un an, plusieurs ouvrages et actions ont porté dans l'espace public la question de la fiabilité des statistiques du chômage. Au printemps 2006, une conseillère de l'ANPE, Fabienne Brutus, écrit Chômage, des secrets bien gardés, la vérité sur l'ANPE (éditions Jean-Claude Gawsewitch). Dans ce succès d'édition, Fabienne Brutus présente au grand public les huit catégories de chômeurs et les astuces utilisées pour afficher dans les médias un nombre de chômeurs ne reflétant aucunement la réalité du chômage et de la précarité. A l'automne, c'est l'instrumentalisation politique des chiffres du chômage qui est décryptée dans Chômage, le fiasco des politiques (éditions Balland). Cet ouvrage défend aussi la création d'une véritable « station météo de l'emploi et de l'activité » basée, entre autres, sur des indicateurs d'activité et de pauvreté. Enfin, depuis la fin de l'année 2006, un collectif de syndicats et d'associations réussit à faire vivre ce même débat. Les Autres Chiffres du chômage (ACDC) plaide pour des indicateurs mesurant l'évolution réelle du marché du travail alors que moins d'un chômeur sur deux est indemnisé par l'assurance chômage.

Pour la médiatisation de nouveaux indicateurs

Un fait majeur va contribuer à installer ce débat dans la campagne électorale. Il s'agit du report à l'automne prochain de la publication de l'enquête emploi habituellement publiée par l'Insee chaque mois de mars. Cette enquête laisse apparaître un taux de chômage à 9,8 % en 2006. Ce taux, non validé par l'Insee, est bien éloigné de celui affiché par le gouvernement à partir des données fournies par l'ANPE : 8,4%, soit 2,06 millions de chômeurs à fin février 2007. Un taux aussi bas n'a jamais été vu depuis 25 ans. Enfin, Eurostat, l'office européen des statistiques, estime le taux français à 8,8% à fin février 2007 et à 9,4 % pour 2006. Une telle diversité de chiffres et de tels écarts suffisent pour exiger la médiatisation régulière de nouveaux indicateurs. La question n'a rien d'anecdotique puisque ce changement d'indicateurs pourrait permettre de sortir enfin de l'obsession du sacro-saint court terme statistique qui caractérise, depuis trente ans, les politiques conjoncturelles de lutte contre le chômage. Une obsession qui conduit à tout faire pour afficher, chaque mois, un chiffre du chômage à la baisse quitte à sortir des chômeurs des listes officielles même s'ils n'ont pas retrouvé un emploi.

SĂ©go pour, Sarko contre

Polémique sur le taux de chômage en France. Royal est pour changer d'indicateur de mesure. Sarkozy est contre.
A quelques jours du second tour de l'élection présidentielle, les positions de Ségolène Royal et de Nicolas Sarkozy sur cette question sont opposées.

Dans une réponse adressée au syndicat SNU ANPE, Ségolène Royal indique que «la mesure du chômage devra être modifiée pour faire cesser les manipulations auxquelles nous assistons». Plusieurs proches de la candidate se sont prononcés en faveur d'une telle évolution. Retenons ici l'intervention de Jean-Marc Ayrault qui, le 6 mars dernier, écrit au Premier ministre : « Les chiffres statistiques ne doivent souffrir d'aucun soupçon. Les raisons invoquées pour justifier le contretemps dans la publication statistique de l'Insee, ne sont pas recevables ». Le PS souhaite « une présentation, chaque mois, de l'ensemble des catégories de chômeurs (...) que les salariés licenciés économiques bénéficiant de conventions de reclassement ou de contrat de transition soient réintégrés dans les statistiques, que les chômeurs âgés soient comptabilisés comme demandeurs d'emplois » demandent aussi les socialistes.

Nicolas Sarkozy, lui, n'a pas répondu au SNU ANPE. Le candidat issu de l'UMP ne conteste plus la pertinence des actuelles statistiques du chômage : « Si les chiffres du chômage augmentaient, personne ne contesterait la réalité des statistiques. Il se trouve que ça baisse et à ce moment-là, comme toujours en France, on veut casser le thermomètre » (La Tribune du 3 avril 2007). Une position exactement opposée à celle qu'il défendait, l'été dernier, dans son ouvrage Témoignage (XO éditions) où il critiquait sans nuance la statistique du chômage : « Le risque de chômage ressenti par les Français est d'ailleurs bien supérieur à 10 %. Si l'on ajoute au nombre officiel de chômeurs tous ceux qui sont artificiellement sortis des statistiques du chômage (inscrits à l'ANPE mais dans des catégories non comptabilisées comme du chômage, bénéficiaires du RMI non inscrits à l'ANPE, seniors dispensés de rechercher un emploi, contrats aidés) et si l'on isole le secteur public (5,2 millions de fonctionnaires et personnes assimilées) pour lequel il n'y a pas de risque de chômage, on aboutit en réalité à un taux de chômage de 20 %. Il faut rapporter en effet le nombre de chômeurs à la taille du marché sur lequel ils cherchent un travail, c'est-à-dire à la taille de l'emploi privé. C'est ce qui explique ce sentiment important de précarité ».

L'objectif de Nicolas Sarkozy est le plein emploi pour 2012. Le plein emploi se situant, pour Nicolas Sarkozy, à 5 % de chômeurs. Nul doute qu'en continuant à médiatiser des statistiques arrangées ne correspondant pas à la réalité, il sera aisé d'atteindre rapidement 5 % de chômeurs et... 15 millions de pauvres !

*Par Patrick Salmon
Ancien directeur d'une agence locale pour l'emploi, Patrick Salmon est syndicaliste Ă  l'ANPE. Il est l'auteur de "ChĂ´mage, le FIASCO des politiques" paru aux Ă©ditions Balland.

Source : http://www.jobetic.net


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  Royal accuse "le système mĂ©diatico-financier" liĂ©
Message PubliĂ© : 27 Avr 2007 21:29 
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Le Monde a Ă©crit :
Royal accuse "le système médiatico-financier" lié à Sarkozy

Ségolène Royal a accusé vendredi devant la presse "le système médiatico-financier auquel est lié Nicolas Sarkozy" de vouloir empêcher son débat avec François Bayrou, et a "encouragé tous les journalistes à résister aux pressions de toutes sortes".

"Je crois que le système médicatico-financier auquel est lié Nicolas Sarkozy a, comme le dit François Bayrou, essayé de faire en sorte que ce débat (avec le candidat UDF) n'existe pas", a déclaré la candidate socialiste à l'issue d'une rencontre à Paris avec la presse quotidienne régionale.

"Mais les électeurs, les citoyens ont quand même droit à la liberté d'expression de responsables politiques qui veulent parler ensemble de l'avenir de la France. Dans le cadre d'une élection présidentielle, aucun débat ne doit être interdit", a-t-elle affirmé.

Alors que le débat entre Mme Royal et M. Bayrou pourrait avoir lieu samedi après-midi, la candidate PS a lancé: "heureusement il y a des médias qui ne subissent pas cette pression médiatico-financière, il en reste".

"J'encourage tous les journalistes à résister aux pressions de toutes sortes, on ne voit ça dans aucun autre pays démocratique. C'est quand même tout à fait surprenant", a-t-elle ajouté.

Source: http://www.lemonde.fr


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  DĂ©bat Royal-Bayrou sur BFM TV et RMC Ă  Paris samedi
Message PubliĂ© : 28 Avr 2007 02:38 
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Romandie News a Ă©crit :
DĂ©bat Royal-Bayrou sur BFM TV et RMC Ă  Paris samedi

PARIS - Ségolène Royal et François Bayrou ont accusé Nicolas Sarkozy d'exercer des "pressions" pour empêcher un débat entre eux, qui devrait tout de même se tenir samedi 28 avril 2007. Le président de l'UMP rejette ces accusations.

La candidate socialiste et celui de l'UDF, sorti troisième du 1er tour de la présidentielle, ont affirmé que ce débat aurait bien lieu samedi. Il se tiendra sur BFM TV et RMC, a indiqué le parti de M. Bayrou, et se déroulera dans un hôtel parisien entre 11h00 et 12h30. Il doit permettre d'envisager un rapprochement entre la gauche et le centre pour battre M. Sarkozy, favori des sondages.

Nicolas Sarkozy a répondu fermement à ses deux accusateurs et affirmé être victime de "procès de Moscou". "S'il y a des éléments ou des preuves surtout révélez-les", a-t-il dit aux journalistes, ajoutant que "personne n'est sous contrôle et personne ne fait pression sur rien". Et de juger les propos de Mme Royal et M. Bayrou injurieux et diffamatoires.

"Personne ne nous fera taire", a lancé Mme Royal, qui devait de nouveau sonner la charge sur ce thème lors d'un meeting à Lyon. Le candidat de droite était attendu de son coté à Clermont-Ferrand.

Certains commentateurs politiques notent que la tenue d'un débat entre Ségolène Royal et François Bayrou - avant celui que les deux finalistes auront le 2 mai à la télévision comme c'est de tradition dans l'entre-deux tours - pourrait gêner le candidat de l'UMP, qui se verrait d'une certaine manière ravir la vedette.

Source : http://www.romandie.com


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  Le film de la journĂ©e du samedi 28 Avril
Message PubliĂ© : 29 Avr 2007 05:55 
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Le Monde a Ă©crit :
Le film de la journée du samedi 28 Avril

Le débat sans précédent entre Ségolène Royal et François Bayrou a été l'événement majeur de la journée de campagne de samedi, marqué aussi par un appel de Jacques Delors aux électeurs centristes à voter pour la candidate PS et un déplacement de Nicolas Sarkozy à Valenciennes (Nord).

- 10H45 : depuis Valenciennes Nicolas Sarkozy ironise sur le débat Royal-Bayrou, parlant de "petites combines un samedi matin dans un hôtel parisien", alors que lui "préfère être sur le terrain".

- 11H15 : arrivée de François Bayrou et Ségolène Royal sur le lieu du débat, organisé après bien des péripéties par BFMTV, RMC et le Parisien.

- 13H04 : Fin du débat, dont l'objectif est selon les deux responsables d'éviter des "affrontements de bloc à bloc" qui "ne marchent pas".

- 13H20 : Jean-Pierre Chevenèment (MRC) salue "un beau débat républicain", qui a "permis de faire progresser la compréhension des Français entre eux".

- 13H40 : le sénateur PS Jean-Luc Mélenchon juge que Ségolène Royal a été "convaincante", sans "rien céder" sur ses propositions.

- 13H50: à Valenciennes, Nicolas Sarkozy participe à une table ronde sur le logement et visite une usine, affirmant qu'il ne s'intéresse pas du tout à la teneur du débat Royal-Bayrou, qui n'a "aucune importance".

- 14H00: Mme Royal "se réjouit" de la libération de l'otage française détenue par les talibans en Afghanistan et appelle les Français à "rester unis contre le terrorisme".

- 14H10: Bernard Accoyer, le chef de file des députés UMP, qualifie "d'exercice de politique spectacle, de connivence et de faux semblants" le débat Royal-Bayrou.

- 14H30 : Canal Plus annonce la participation de Ségolène Royal à l'émission "Dimanche+", à la place de François Hollande.

- 16H00: Alain Krivine, porte-parole de la LCR juge que le débat Royal/Bayrou est "un grand compromis entre une partie de la droite et une partie de la gauche, avec un porte-parole du centre-droit et une porte-parole du centre gauche, pour développer des programmes qui sont tout à fait solubles l'un dans l'autre". "Cela ne change rien à notre consigne de vote qui est de transformer le second tour en un référendum contre Sarkozy".

- 17H00 : Canal Plus annonce la participation à l'émission "Dimanche+" de Nicolas Sarkozy (Michèle Alliot-Marie lui a laissé sa place), et de Ségolène Royal, mais l'un après l'autre sur le plateau.

- 17H00 : le premier secrétaire du PS François Hollande affirme à l'AFP à propos du débat Royal-Bayrou: "les présents ont tiré avantage de ce dialogue. L'absent aura été le seul perdant", dénonçant "le mépris déplacé" exprimé par M. Sarkozy.

- 17H30: les trois porte-parole de campagne de Mme Royal --Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Najat Belkacem-- déplorent la "violence verbale" et le "mépris" de Nicolas Sarkozy à l'égard du débat Royal-Bayrou.

- 18H00 : sondage Ifop-Fiducial pour M6 et le Journal du Dimanche, indiquant que Nicolas Sarkozy battrait sa rivale PS Ségolène Royal par 52,5% (-1,5) à 47,5% (+1,5) des voix.

- 18H10 : Manifestation à Paris d'environ 400 personnes originaires d'Outre-mer "contre les discriminations" et pour "faire entendre leur voix" aux deux candidats à la présidentielle.

- 18H30: Jacques Delors demande, dans une interview au JDD, aux électeurs de François Bayrou de voter le 6 mai pour Ségolène Royal en leur lançant: "Il y a urgence (...) il faut se compromettre dès maintenant".

Source : http://www.lemonde.fr


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  Le film de la journĂ©e du dimanche 29 Avril
Message PubliĂ© : 30 Avr 2007 04:25 
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Le Monde a Ă©crit :
Le film de la journée du dimanche 29 Avril

Le meeting de Nicolas Sarkozy, qui a rassemblé environ 40.000 personnes, selon l'UMP, à Bercy (Paris), a dominé la journée de campagne dimanche, tandis que le candidat UMP et son adversaire socialiste Ségolène Royal se sont livrés à un duel à distance sur Canal +, et ont lancé de nouveaux appels aux électeurs centristes.

10H00: Le chef de file des députés UDF, Hervé Morin, annonce qu'il "votera sans hésitation Nicolas Sarkozy" le 6 mai, estimant que Ségolène Royal "n'est pas à la hauteur de la fonction présidentielle".

10H45: L'ancien ministre PS Dominique Strauss-Kahn se dit "persuadé que les électeurs qui ont voté pour François Bayrou se reconnaîtront dans la vision d'une France (...) juste et forte" défendue par Ségolène Royal.

11H00: Nicolas Sarkozy rencontre à l'Elysée le président Jacques Chirac qui l'avait reçu lundi, au lendemain du premier tour.

12H30: Aux côtés du président de l'Association des médecins urgentistes hospitaliers de France Patrick Pelloux, Ségolène Royal prend très fermement" l'engagement de redonner "les moyens de fonctionner à l'hôpital public".

12H40: Jean-Michel Baylet, vice-président du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR), dément que "Ségolène Royal ou son entourage" ait "exercé des pressions sur notre syndicat", contrairement à ce qu'avait affirmé la veille le président du syndicat, Michel Comboul.

13H00: Nicolas Sarkozy assure sur Canal + ne pas en vouloir à François Bayrou, qui a multiplié les attaques contre lui, et assure vouloir débattre mercredi soir avec Ségolène Royal "avec respect et également fermement".

13H15: Ségolène Royal déclare, elle aussi sur Canal +, qu'elle ne s'"interdit rien" à l'évocation de la possibilité de choisir François Bayrou comme Premier ministre et souhaite que Nicolas Sarkozy ne profite pas du débat télévisé du 2 mai pour "se poser en victime".

13H15: Une étude TNS Sofres pour RTL et Le Monde révèle que 46% des électeurs affirment qu'ils voteront au second tour de l'élection présidentielle par rejet de l'autre candidat, contre 51% qui le feront par adhésion au candidat qui recevra leur suffrage. 31% des électeurs du candidat UDF ont l'intention de voter pour Royal, contre 23% pour Sarkozy.

16H00 - Michèle Alliot-Marie et François Fillon chauffent la salle de Bercy, avant le meeting de Nicolas Sarkozy. La ministre de la Défense assure que "nous n'avons pas besoin de quelqu'un qui change d'idées aussi souvent que de jupes" pour faire face aux défis et menaces qui pèsent sur la France. Le conseiller du candidat UMP lance: "non Mme Royal! Le drapeau ce n'est pas sur les balcons qu'il faut l'installer, c'est dans le coeur qu'il faut l'accrocher".

16H30: Nicolas Sarkozy dit à Bercy vouloir être "le candidat du peuple de France". "Je veux être son porte-parole". Il assure avoir rencontré "la France qui paye" pour "les fautes des politiques, des technocrates, des syndicalistes, qui paye pour les fraudeurs", propose d'introduire "un peu de proportionnelle" au Parlement, fait une ouverture aux centristes et assure ne rien regretter de sa phrase sur le nettoyage au Kärcher d'une cité de banlieue.

18H00: Nicolas Sarkozy recueille 52% (+1) des voix au second tour de la présidentielle et Ségolène Royal 48% (-1), selon un sondage TNS-Sofres pour RTL, LCI et Le Figaro.

18H25 : Le Parti socialiste dénonce "l'éternel discours de haine et de division" de Nicolas Sarkozy après le meeting du candidat UMP à la présidentielle à Bercy.

18H30: Le premier secrétaire du parti socialiste François Hollande demande qu'on "n'occulte pas les élections législatives" de juin qui détermineront la majorité au parlement.

Source : http://www.lemonde.fr


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  Les candidats affĂ»tent leurs armes avant le dĂ©bat du 2 Mai
Message PubliĂ© : 30 Avr 2007 23:03 
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L'Express a Ă©crit :
Les candidats affûtent leurs armes avant le débat du 2 Mai

A deux jours d'un débat déterminant pour le second tour de l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal affûtent leurs arguments, entre diatribe anti-Mai 68 et dénonciation d'un projet "violent" et "brutal".

"Il reste quelques jours pour convaincre, je m'y emploie", a déclaré lundi la candidate socialiste sur France 2, formant le voeu d'"ouvrir les yeux" des Français sur "le choix de société qu'ils vont avoir à accomplir" le 6 mai.

Au lendemain du meeting monstre du candidat de l'UMP à Paris-Bercy, au cours duquel il a fustigé l'esprit de Mai 68, Ségolène Royal s'est inquiétée d'"un discours d'une grande violence, d'une grande brutalité". "Je crois que ce n'est pas cela dont la France a besoin aujourd'hui".

"Mai 68 a été un moment où se sont affirmés des droits nouveaux dans tous les domaines. (...) Donner à penser que la gauche d'aujourd'hui serait une gauche qui détruirait les valeurs, qui serait favorable au désordre, c'est se moquer du monde, c'est jouer avec la réalité", a renchéri Jack Lang, son conseiller, sur France Info.

La candidate socialiste tiendra un meeting public mardi au stade Charléty, à Paris.

Nicolas Sarkozy, qui a gagné la Corse dimanche soir, a préparé quant à lui les derniers jours de campagne au cours de deux réunions de travail avec certains de ses proches collaborateurs.

Au nombre des participants figuraient notamment son conseiller politique François Fillon, son directeur de campagne Claude Guéant, le ministre délégué aux Collectivités territoriales, Brice Hortefeux, la ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, et le transfuge du Parti socialiste Eric Besson.

L'arsenal socialiste, dont Ségolène Royal devrait user mercredi soir lors du débat télévisé avec Nicolas Sarkozy sur TF1 et France 2, visait lundi la proximité jugée "dangereuse" du président de l'UMP avec "les puissances d'affaires" et "les puissances médiatiques" et sa conversion à la proportionnelle.

"UNE PERCHE TENDUE VERS LE FN"

"Vous trouvez normal qu'il y ait Martin Bouygues et Jean-Luc Lagardère (NDLR : en fait, Arnaud Lagardère, son fils) qui soient présents dans un meeting de l'UMP pour l'élection présidentielle, qu'il y ait là cette confusion des genres ?", s'est interrogé le premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande, sur RMC et BFM TV au lendemain du meeting de Bercy.

Quant à la proposition de Nicolas Sarkozy d'introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives, Ségolène Royal juge que "c'est une perche tendue vers le Front national".

"Nicolas Sarkozy en a déjà parlé notamment à propos du Sénat où elle existe et où on pourrait l'accroître, et il en a parlé dans la relation avec les centristes", a corrigé Patrick Devedjian sur Canal+.

"C'est un sujet de débat entre l'UMP et les centristes éventuellement, mais pas avec le FN, qui n'appartient pas à la majorité présidentielle", a dit le député des Hauts-de-Seine.

L'épisode du débat Royal-Bayrou clos, les deux camps continuent de courtiser l'électorat de l'ex-candidat centriste - plus de 6,8 millions d'électeurs.

Dans une interview accordée au Monde, Ségolène Royal n'exclut pas un accord de gouvernement avec le centre et ne "s'interdit pas" de nommer François Bayrou à Matignon, bien qu'elle précise que l'ancien ministre socialiste Dominique Strauss-Kahn ferait "un très bon Premier ministre".

Si le président de l'UDF "vient sur la majorité présidentielle, il fera partie de la majorité présidentielle. Comme toutes les autres forces politiques qui ont appelé à voter pour moi", dit-elle, évoquant des accords de désistement entre socialistes et centristes aux législatives des 10 et 17 juin.

"Il ne faut pas sous-estimer" Ségolène Royal, souligne Patrick Devedjian.

Nicolas Sarkozy "doit la traiter à égalité, comme une candidate solide, sérieuse, qui a reçu l'approbation d'un nombre important de Français (...) et elle mérite le respect".

Source : http://www.lexpress.fr


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