Desolee Zaly, mais maintenant j'enfourche mon cheval de bataille aussi . . .
Merci a ‘Remival’ de soulever cette question – si on lit seulement ce qu’il y a dans les mass media, on a l’impression que tout va bien para port l’état actuel de l’environnement en Australie, est c’est loin d’être ça. Quant a moi, il fallait voyager loin pour me rendre conte de ce qu’on a (avait
) ici, et ce qu’on risque de perdre. Installée dans un petit village dans les Pyrénées, j’attendais avec impatience de rencontrer la faune de la région. Apres 6 mois des longues randonnées quotidiennes en montagne, j’avais vu : un ours (il est mort maintenant), quelques isards en haut, un écureuil, et un hérisson. Quelques milliers des brebis et des vaches, bien sur (et en parlant des mouches, je peux vous dire que là il y des coins pire qu’ici !). Quelques semaines après le début des vacances scolaires, j’ai pris l’habitude de prendre un sac avec moi pour ramasser les déchets des touristes. Maintenant il reste que trois ours en liberté – il y a quelques années ils ont essayer d’introduire une ourse de Slovénie. Elle a été tuer « accidentellement » par un chasseur (en laissant trois petits) – personnellement, je pense que ce chasseur a été bien payé par les bergers . . . l’agriculture n’a pas une conscience, comme on le voit aussi bien ici en Australie. C’est une problème international, est on est tous impliquer dans cette histoire.
Ici, habitant dans une ville de presque 2 millions d’habitants, j’ai qu’a voyager 10 kilomètres pour voir des wallabies sauvages, j’ai des koalas dans le jardin (j’en profite parce que ça sera bientôt fini si on continue . . .), les lorikeets, galahs et perroquets, quelques possums etc . 50 km plus loin et c’est le foret sous-tropical avec des centaines d’espèces d’oiseaux. Bien sur, j’ai aussi des crapauds dans mon jardin la nuit (la fameuse cane toad) et par conséquence, je n’ai plus des grenouilles . . . et oui, je fait mon propre « culling » - j’aime pas le faire, parce que c’est pas leur faute, mais . . . La philosophie des aborigènes de la terre est si on peut pas être sur des conséquences pour les 7 ans qui arrivent, il faut pas le faire – et nous ? « Et Dieu dit : Faisons les hommes à Notre image, selon Notre ressemblance, et qu’ils dominent sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout animal rampant qui rampe sur la terre » Je pense que si on eût la même mentalité que les aborigenes, on ne serait pas dans cette situation environnementale atroce, mais c’est jamais trop tard de changer des idées.